38. P... de b... de m... de c... à la c... !
JUSTE, aussi factuellement que je peux (mais ne me faites pas confiance là-dessus…), une information : mon trajet en train, hier soir, pour rentrer du travail, m'a très clairement montré que ce sont bien ces trajets qui me ruinent le dos. Je n'avais pas vraiment mal en entrant dans le train, et j'avais du mal à marcher en en descendant. J'ai passé une soirée pénible, et je me réveille avec le dos encore sensible. Rogntudju ! C'est une catastrophe. Deux conséquences :
D'abord, j'appelle dès aujourd'hui mon rhumatologue pour le revoir au plus vite. Donc il faut que je m'occupe de régler, administrativement parlant, ma situation. En effet, pour des raisons surréalistes, le centre de Sécurité sociale où je suis inscrit ne me rembourse que partiellement, tout en me disant que je ne suis pas inscrit chez eux et qu'ils ne peuvent donc pas me rembourser mieux… Première étape, envoyer un dossier à la Sécurité sociale pour qu'elle me considère clairement comme inscrit chez elle, et accepte donc la désigantion de mon « médecin référent ». Deuxième étape, voir mon médecin généraliste pour qu'il « m'inscrive dans un parcours de soins ». Mais pas question d'attendre de régler ça pour me traiter.
Ensuite, pas possible de m'investir à fond au boulot si c'est pour bientôt être à nouveau incapable de me concentrer et peut-être me mettre en arrêt maladie pour plusieurs semaines. Hier, j'ai eu du mal à bosser. Aujourd'hui, je sens que ce sera pire. Il va me falloir quelques jours pour me résigner à mon sort.
Je ne suis pas découragé, je ne suis pas désespéré, mais j'ai pris un coup au moral dans ce satané train d'hier soir.
Jo