46. Le Magnificat de Bach
IL Y A deux morceaux que j'aime beaucoup écouter le samedi ou le dimanche matin en me levant. Voici celui que j'ai écouté ce matin, le Magnificat en ré majeur de Johann Sebastian Bach (BWV 243). L'autre n'a rien à voir (il n'est pas de Bach mais de Supertramp…) et pourtant ces deux morceaux sonnent pour moi de façon identique : c'est la joie de vivre proclamée. Le Magnificat, nommé d'après son premier mot, est une prière de louange et d'espérance.
Je n'ai pas trouvé sur la Toile de version vraiment à mon goût, mais celle-ci a l'avantage d'avoir au moins de l'éclat. Vous n'entendrez là que la première des douze parties, mais c'est celle qui me ramène régulièrement vers ce morceau, pour le moment où éclate le chant du Magnificat après l'introduction instrumentale.
Ceux qui suivent ce blog article après article seront peut-être surpris du contraste entre mes récents articles tristes, comme l'article 43 (« J'ai mal ») et celui-ci. L'explication est simple : je suis au cœur de cette crise qu'on peut qualifier sans doute de crise de la quarantaine. Je suis en train de basculer du côté de l'action. Je sens des points d'appui se mettre en place, des pistes d'avenir possible se dessiner. Il y aura encore des jours difficiles, sans doute, mais j'avance. La vie est magnifique !
Je rajoute ici un mot particulier pour Bravo : j'ai aussi écouté ce matin les deux Passions de Bach. Pour l'instant, c'est la Passion selon saint Jean qui me touche le plus. La Passion selon saint Mathieu est plus musicale, plus professionnelle, mais je la trouve moins humaine. À confirmer !
Jo
Je n'ai pas trouvé sur la Toile de version vraiment à mon goût, mais celle-ci a l'avantage d'avoir au moins de l'éclat. Vous n'entendrez là que la première des douze parties, mais c'est celle qui me ramène régulièrement vers ce morceau, pour le moment où éclate le chant du Magnificat après l'introduction instrumentale.
Ceux qui suivent ce blog article après article seront peut-être surpris du contraste entre mes récents articles tristes, comme l'article 43 (« J'ai mal ») et celui-ci. L'explication est simple : je suis au cœur de cette crise qu'on peut qualifier sans doute de crise de la quarantaine. Je suis en train de basculer du côté de l'action. Je sens des points d'appui se mettre en place, des pistes d'avenir possible se dessiner. Il y aura encore des jours difficiles, sans doute, mais j'avance. La vie est magnifique !
Je rajoute ici un mot particulier pour Bravo : j'ai aussi écouté ce matin les deux Passions de Bach. Pour l'instant, c'est la Passion selon saint Jean qui me touche le plus. La Passion selon saint Mathieu est plus musicale, plus professionnelle, mais je la trouve moins humaine. À confirmer !
Jo